“Après tout, merde, voilà. Avec ce grand mot on se console de toutes les misères humaines ; aussi je me plais à le répéter : merde, merde.”
Gustave Flaubert, lettre à E. Chevalier, 15 juin 1845(citée par P.-M. de Biasi in Gustave Flaubert, une manière spéciale de vivre, p. 82)
Je me lamente beaucoup, en ces lieux, sur l'âme chaotique de
Lomalarchovitch, qui sème une quantité improbable d'objets sur son passage,
a une mémoire à ...
Ah ben zut alors, j'espérais une vraie suite moi :-) !
RépondreSupprimerOh, rien ne dit que je ne clamerai pas encore mon amour pour cette correspondance, par touches, au gré de l'humeur et — du temps !
RépondreSupprimer;-)