Réceptionné ce matin mes exemplaires du bouquin sur la Bible.
Je découvre la couverture kitchissime que l'éditeur, que la question embarrassait, a finalement choisie pour ce péplum journalistique - radical. Je le feuillette - la facture (bon marché) de la collection n'est décidément pas fameuse, je surprends deux coquilles qui me font douter de l'existence des correctrices, qui ne m'ont adressé aucune question. La traduction laisse à désirer.
Pourtant, j'arrive à m'en trouver réjoui au point de le noter comme si c'était l'événement du jour. Je fais une pile le long de ma bibliothèque, je la prends en photo. Depuis toujours, avant que les déménagements successifs et l'époque ne me fassent changer d'avis, j'ai lié le sentiment de ma richesse à la possession de volumes de papier imprimé (dirait Bergounioux). Enjoué un peu comme si je venais de gagner mon poids en papier.
L'énorme carton annoncé par la concierge contient 14 de ces pavés, au lieu des 15 prévus au contrat. Déçu, j'ai un léger sentiment de spoliation. Qui soupçonner ? Une mesquinerie de l'intendance ? Un manutentionnaire mal réveillé, là-bas, dans le delta ? Ou désinvolte - plus de place dans le carton ?
Mais un coin dudit carton était défoncé, et il se pourrait fort bien qu'un indélicat ait prélevé un exemplaire pendant le transport. Ou un passionné de la Bible - le titre figurait au marqueur sur le carton ? A moins que ce ne soit ma concierge elle-même qui le lise, ce soir, en cachette ?...
Je découvre la couverture kitchissime que l'éditeur, que la question embarrassait, a finalement choisie pour ce péplum journalistique - radical. Je le feuillette - la facture (bon marché) de la collection n'est décidément pas fameuse, je surprends deux coquilles qui me font douter de l'existence des correctrices, qui ne m'ont adressé aucune question. La traduction laisse à désirer.
Pourtant, j'arrive à m'en trouver réjoui au point de le noter comme si c'était l'événement du jour. Je fais une pile le long de ma bibliothèque, je la prends en photo. Depuis toujours, avant que les déménagements successifs et l'époque ne me fassent changer d'avis, j'ai lié le sentiment de ma richesse à la possession de volumes de papier imprimé (dirait Bergounioux). Enjoué un peu comme si je venais de gagner mon poids en papier.
L'énorme carton annoncé par la concierge contient 14 de ces pavés, au lieu des 15 prévus au contrat. Déçu, j'ai un léger sentiment de spoliation. Qui soupçonner ? Une mesquinerie de l'intendance ? Un manutentionnaire mal réveillé, là-bas, dans le delta ? Ou désinvolte - plus de place dans le carton ?
Mais un coin dudit carton était défoncé, et il se pourrait fort bien qu'un indélicat ait prélevé un exemplaire pendant le transport. Ou un passionné de la Bible - le titre figurait au marqueur sur le carton ? A moins que ce ne soit ma concierge elle-même qui le lise, ce soir, en cachette ?...
Je pensais que peut-être, nous aurions droit à une photo ? de la couverture que l'auteur a choisie (ligne2), hum hum...
RépondreSupprimerUne attente parfaitement légitime, seulement je suis schizophrène - c'est commode... Ca créerait un conflit d'identité, tu comprends, ça ruinerait mon pseudonymat... Réglons la chose en privé...
RépondreSupprimerJe serions pas contre le même "réglage" privé :-)
RépondreSupprimerthe missing one : T'inquiète va, toutes les concierges n'ont pas la vêture du porc-épic (mais certains facteurs sont révolutionnaires, alors sait-on jamais :-) )
T'as pas corrigé la faute ?
RépondreSupprimer(niark niark)
Non, c'est un truc que j'ai mis au point pour vérifier que tu viens bien régulièrement :D
RépondreSupprimerhi hi ce janu, quel farceur :-)
RépondreSupprimerça marche en plus !
(air extasié de cybermère devant le lovely fils)
Non, mais je déconnais, c'est juste que ton "ligne 2 hum, hum" ne m'étais pas monté au cerveau. Ca marche, en plus !
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