samedi 25 décembre 2010

neuvième

Pour Noël, moi qui n'en lis qu'une tous les 36 mois, je redécouvre émerveillé toutes les possibilités singulières de la bande dessinée, et, dans Le combat ordinaire de Manu Larcenet, sa liberté, sa simplicité, sa façon d'entrer avec l'air de ne pas y toucher dans les communs embarras de nos existences.



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