"Incontestablement, Editis a été un excellent coup. Acheté à Lagardère en 2004 pour 650 millions d’euros, le groupe est revendu, quatre ans plus tard, pour un peu plus d’un milliard d’euros. Et tant pis si Seillière avait juré que Wendel était au capital d’Editis pour «au moins quinze ans»."
Grégoire Biseau, "Le pactole confisqué de la vente d'Editis", Libération, 28.05.2008
Je te fais une bise.
RépondreSupprimer(tiens, je suis devenue accro au site de François Bon et à son petit journal ! je te le dois, merci petitou - c'est bientôt la fin de l'année et je suis pleine de sentimentalisme envers tous mes enfants... - c'est la pluie, peut-être?)
samantdi