“Après tout, merde, voilà. Avec ce grand mot on se console de toutes les misères humaines ; aussi je me plais à le répéter : merde, merde.”
Gustave Flaubert, lettre à E. Chevalier, 15 juin 1845(citée par P.-M. de Biasi in Gustave Flaubert, une manière spéciale de vivre, p. 82)
Le 14 juin 2005, sur le conseil amical de François Bon,...
Ah ben zut alors, j'espérais une vraie suite moi :-) !
RépondreSupprimerOh, rien ne dit que je ne clamerai pas encore mon amour pour cette correspondance, par touches, au gré de l'humeur et — du temps !
RépondreSupprimer;-)